Pendant deux mois le Jardin botanique a vécu une vie de sauvage à l’abri des mains de son principal artisan, l’humain. Pendant deux mois, la petite faune, abeilles charpentières, lézards des murailles, chardonnerets, hérissons et écureuils mais aussi pigeons et chats se sont appropriés tous ces espaces vidés du personnel et des visiteurs. Quelques chanceux